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17 mars 2012 6 17 /03 /mars /2012 00:55

Il est toujours surprenant de laisser un peu et coupablement un blog à l'abndon quand on revient dessus pour constater que sa fréquentation ne baisse pas. Elle n'est pas bien haute, certes, mais tous les jurs des gens y passent. Et là, c'est le cercle vicieux : Ne doit-on pas à ces gens qui prennent la peine et le temps de parcourir ces quelques pages d'en mettre de nouvelles ? La réponse est indubitablement "Non, et je vous emmerde." Mais comme je vous aime un epu, beaucoup, et même passionnément, je me dois de vous faire profiter de nouvelles choses. De nouveaux regards sur de nouveaux fimls. Vieux ou non. Originaux ou non. Car après tout, rappelez-vous toujours de ces petites phrases (de moi-même dans le texte) :

 

- Si vous avez un jour dit d'un film, d'un seul, qu'il était stupide, vous ne pourrez JAMAIS nier à quiconque le droit d'en faire autant, et ce avec n'importe lequel.

 

- L'argent et la réussite d'un film ne lui donne aucune immunité. S'il est pourri il est pourri.

 

En ce moment c'est une version vidéo de ce blog qui me tarabuste. Mais le net grouillant de podcast en tout genre, et pour l'immense majorité complètement NAC (Nul A Chier), ça dissuade de surcharger vos neurones d'un nouveau format vidéos.

 

 

 

Mais quelque part... Je vous emmerde, et ça va finir par sortir :D

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1 octobre 2011 6 01 /10 /octobre /2011 16:19

Parfois quand on entre dans un profond désarroi, on est capable de tout. De n'importe quoi. Du pire comme du encore pire. Même d'aller voir des films minables. Et bien je confesse que c'est de mon plein gré, sans la moindre morosité ni dépression, ni même instant d'égarement, que j'ai été jusqu'au cinéma regarder un film dont je n'attendais rien. Et dont il ne fallait rien attendre... Shark Night 3D

Alors si le fiml n'a rien de recevable pour rentrer dans la catégorie bon, ni même correct, et ce dès la bande annonce, j'y suis quand même allé pour profiter de quelque chose de relativement logique : Un film de requin en 3D parce que si le procédé n'est pas à sa place dans ce genre de film, il ne l'est nulle part.

 

 

 

La 3D :

 

 

 

Alors histoire de tuer tout suspens dans l'oeuf et se laisser aller à une analyse encore très douce, objective et purement... Ah non, réaliste elle l'est. Enfin voilà ce qui concerne la 3D :

Le fiml est en 3D ! Si si ! Contrairement aux innombrables navets prétextes à vous arracher une poignée d'euros supplémentaires, ce film est en 3D !... Sous l'eau. Les séquences sous-marines sont pour la plupart joliment portées dans le relief.notamment la toute première scène. Outre le cul de la jeune fille qui sautille sous l'eau (Chose que le mongoloïde sans doute du nord assis juste derrière nous a bieeeen remarqué), le tapis de cailloux qui fait office de sol donne vraiment la sensation de venir nous racler les naseaux et de fuir vers le lointain. La scène de recherche du bras (je reviens dessus tout à l'heure) donne aussi son pesant de réussite visuelle.

Cependant, notons que les scènes de requins en 3D, en 3D... Bon, c'est pas le top, hein ! Mais c'est dejà un bel espoir. Jusque là les réussires dans ce domaine ne sont pas nombreuses.

 

Une petite paranthèses pour tous les décérébrés qui en entendant 3D n'ont d'yeux que pour Avatar... Sans vous renvoyer à l'article qui en traitent, ouvrez vous le cerveau et frappez le très fort contre la cuvette des toilettes. Ca c'est fait. Pas de 3D correct, un scénar inexistant quand il n'est pas pompé, faut vraiment être une bande de lamentins boulimiques pour porter ça aux nues...

 

 

 

Le film :

 

 

 

Ouille ouille ouille...

 

 

Pourquoi ?

 

 

 

Et ben parce que.

 

 

Mais encore ?

 

 

 

Bon d'accord, quelques explications.

 

Dans la nullité il y a les mauvais films, les navets moisis, et les incrédibles (tel Hulk). Et parfois y'a des combos. Comme Avatar, un incrédible mauvais navet. Ou Shark Night, un incrédible film moisi.

 

Mais avant tout reprenons dans l'ordre :

 

L'histoire :

 

 

C'est l'histoire d'un mec... Ou plutôt d'une bande de mecs... Et de nanas. Non je déconne c'es tpas une histoire, c'est un prétexte. Le prétexte, c'est qu'une bande de jeunes va passer quelques jours de vacances dans la villa de riches d'une fille de la bande. Une villa perdue au fin fond d'un coin paumé, en plein milieu d'une île cernée d'un lac d'eau salé. Où évidemment les portables ne passeront pas, qu'il n'y aura pas internet, pas de voisin... Oui, car dans les premières minutes on sait déjà que ça va être une villa de luxe au milieu de l'âge de pierre.

Toujours est-il !

La bande de moules s'arrête dans une station service. EVIDEMMENT.

Elle croise la route de deux gros psychos. EVIDEMMENT.

L'un d'eux d'ailleurs à les dents de la mâchoire supérieure taillées en pointe. Comme un joli sourire de requin. Mon premier réflexe fut : "Ah quelle horrible destinée les attend ! Bordel de merde ! Ca sent la mort ! Les jeunes vont se retrouver face à une secte de gros dégueulasses qui filent les gens à bouffer aux requins !" Puis "Pfffff. Franchemenbt faut que j'arrête. C'est un réflexe dû à une culture Lovecraftienne au cinéma... Après tout, les gens ne sont pas des affreux gorets qui tuent. Même si la scène se clot juste avant que l'un des deux égorge un des jeunes..."

...

Hard spoil inside ! Car voilà ce que j'aurais du me dire :

 

"Ah quelle horrible destinée les attend ! Bordel de merde ! Ca sent la mort ! Les jeunes vont se retrouver face à une secte de gros dégueulasses qui filent les gens à bouffer aux requins. Pfffff. Franchemenbt faut que j'arrête. C'est un réflexe dû à une culture Lovecraftienne au cinéma... Après tout, les gens ne sont pas des affreux gorets qui tuent. Même si la scène se clot juste avant que l'un des deux égorge un des jeunes..."

 

...

Enfin... bref...

Les vacances commencent bien, mais au bout d'au moins... Une heure, un requin arrache un bras au black de service... Pourquoi de service ? Parce que c'est le grand sportif bourrin du groupe. Ok y'a plus con que lui dans le groupe, mais il ressemble à une franche caricature le pauvre homme. Surtout quand il veut absoument se faire un requin au harpon, un bras au moins. Ca c'est quand même bien ridicule. Mais quand il y parvient c'est encore pire. Mais je m'égare !

 

Donc le troupeau de glands se retrouvent dans une situation à la con ! Un homme manchot mourant et pas de moyen de communication avec la civilisation ! L'apprenti doctur du groupe soigne le blessé, puis décide dans un élan de héros stupide (trois secondes plutôt il paniquait, mais la blondasse lui dit "c'est toi qui sais quoi faire !"), il décide d'aller récupérer le bras ! Alors là, il mérite un prix pour sa stupidité ! Mais en plus ce crétin le retrouve !!! Et le requin putain de merde ! Il a fait quoi, arraché le bras en prenant soin de pas le déteriorer ? Et encore moins de le bouffer !? Il est joueur le squale. Et incompétent en plus ! Car non content d'avoir salopé l'avenir de professionnel du ski nautique (!? Me regardez pas comme ça, j'invente rien) du black, il décide de se faire le médic du groupe en pleine course sous-marine. Bon...

Le requin ne voulait pas bouffer le bras parce qu'il est raciste et avait aps vu que la victime était noire.

Admettons...

Ce coup là, il décide de bouffer le blanc bec qui lui passe sous le nez.

Admettons...

Le requin lui tourne autour avant de lui foncer dessus.

Admettons...

 

Mais quelqu'un peut me dire comment il a pu rattrapper un gland en ski nautique sans difficulté, pour être incapable de coincer un con qui nage sous l'eau juste sous son pif ???

Si quelqu'un a réfléchi une seule seconde à un moyen de justifier ça, il sera gentil de se noyer dans ses propres chiottes.

 

BON... Le héros donc, l'apprenti doc, s'en SORT. Puis ils décident tous de la stratégie à adopter : Mettre la victime sur un bateau, et foncer ! Avec lui bien spur, pour l'aider. Mais le requin est pernicieux, vicieux, orgueilleux, obséquieux, véreux, ferrugineux, areuh, que sais-je encore ! Et il les suit, avant de les bousiller tout simplement ! D'abord il mange la copine de Token, euh ! Du black. Puis il fracasse le bateau.

 

Alors là encore une donnée me percute et mon incompréhension me tripote. dans cette séquence de fuite, comme pour le trajet en ski nautique, Le bateau file tout droit longtemps... Au dernier moment il fait demi tour, et le voilà à son point de départ... La villa. Alors à moins que la Terre ait une circonférence suffisamment faible pour me permettre de regarder droit devant et voir mon cul, y'a un problème d'ordre géographique. Ou alors c'est un film de science fiction qui traite des débuts de la téléportation.

 

ENFIN BON ! Token survit, Docteur et blondasse (elle conduisait le bateau et lui regardait Token souffrir) aussi.C'est dans la soirée que Token décide d'aller se faire un requin. Et y parvient le bras en moins. Mais c'est un requin marteau

 

Encore un écart dans la narration... Dans ce film tous les requins bouffent des gens. Même ceux qui se nourrissent normalement exclusivement de crustacés. Alors je sais ce n'est pas d'un grand intérêt dramatqiue, mais quitte à foutre tout et n'improte quoi dans un film, un minimum de documentation ne fait pas de mal. Surtout que pour aller chercher des noms de requins à coucher dehors, ça, les auteurs ont été capables !

 

Dans la nuit, Les deux détraqués de la station service, accessoirement vieilles connaissances de la blondasse, viennent leur porter secours. Ils doivent amener deux des leurs auprès des autorités. Bon évidemment pas de suspens, ce sont de gros... De gros ?... Oui, je l'ai entendu au fond. De gros enculés, merci. Traîtres congénitaux, tarés consanguins, ils n'échappent pas au stéréotypes du détraqué balafré dont la gueule est à l'image des objectifs.

Pendant ce temps sur la plage, Doc et blondasse discutent. Un isntant d'émotion intense, de rapprochement. De cliché de lieu commun. Par contre le dialogue... Ô foutre ciel ! Voilà la SUBSTANCE (parce que le détail est long) du dialogue.

Blondasse parle du balafré (pas le gars aux dents taillés, l'autre psycho). L'information passe beaucoup par le silence, le surjeu et le non dit. Moi, je me permets de vous faire la version claire et directe, sans le blabla :

 

BLONDASSE

Avec je sortais avec BALAFRE. C'était un mega beau gosse que toutes les filles se disputaient. Mais quand j'ai été prise à l'université, je devais partir. Et lui ne voulait pas quitter ce coin. Alors on devait se séparer. Il nous a fait faire une plongée dans notre coin préféré, pour nos au revoirs. Et une fois au fond de l'eau, j'ai l'oxygène qui a commencé à déconner. Je lui ai fais signe de m'aider, lui m'a bien regardé, puis est parti en me laissant étouffer. Je sais pas comment mais je suis remontée.

 

DOC

Mon Dieu, c'est pour ça que tu n'es pas revenue depuis trois ans !

 

BLONDASSE

Ben presque... En remontant, je lui attrappé la gueule et je l'ai écrasé contre l'hélice du moteur du bateau.... (Silence gêné) Après j'ai quand même un peu culpabilisé, du coup je l'ai emmené à l'hôpital. (Un Ange passe...)

 

DOC

C'était pas ta faute, c'était un accident !

 

 

Et ouais... Voilà un dialogue qui déchausse...Miteux, pourri, incohérent, effroyablement incompréhensible, les mots ne manquent pas pour souligner le désarroi de la situation. Blondasse expliquent qu'elle et son ex ont tenté de s'entretuer, avec un naturel émotionnellement chargé de surjeu... Alors que quelques heures plus tôt, entre elle et balafre c'était comme deux ados qui se retrouvent.

 

Bon, impasse sur les rebondissements rances, comme le flic en chef qui est complice etcaetera. Impasse aprce qu'il faut s'attarder sur ce qui mérite de l'être ! Il y a un personnage dont je n'ai pas parlé depuis le début, et ce volontairement. Un personnage aussi peu à sa place qu'un sportif pour représenter la France... Le CHIEN !

Car le Chien de la blondasse n'est là que pour deux choses, et l'une d'elle c'est la scène où le méchant aux dents taillés le jette par dessus bord en pleine nuit parce que Balafre veut pas le garder. Ouah ouah, plouf. Miam miam Kaï kaï ! A ce stade, Blondasse est dans une cage et sera le jour suivant immergé au milieu d'une flaque de sang avec des requins qui veulent la becter. Et Doc est au prise avec POLICE et des requins tigres salement remonté. Bon, par la grâce du destin, il parvient à s'en sortir et faire bouffer l'autre, bien qu'il soit attaché et ligoté à une chaise suspendue au dessus des requins. Mais avant cela, il a le fin mot de l'histoire ! Les trois connos tournent des Snuff où des gens se font bouffer par des requins, puis les revendent à prix d'or.

N'écoutant que son courage, Doc rejoint à la nage (quel homme !!!!) le bateau avec BALAFRE, JOLI SOURIRE et BLONDASSE. Au passage on est dans la journée le lendemain à ce mment là. Et personne n'a dormi depuis la veille au matin. Suite à une manoeuvre digne des plus grands imbéciles de l'univers scénaristique, DOC parvient à neutraliser BALFRE et JOLI SOURIRE Mais la cage tombe dans l'eau et BALAFRE tente de faire tuer BLONDASSE par le requin. Manque de bol DOc parvient à le faire bouffer. Mais le requin décide de se faire la Blondasse ! Et la cage commence à céder ! Tout ça en apnée pour elle ! Pas de pot non plus, le bâton machin à air comprimé des méchants a valdingué quelques secondes plus tôt, seule arme pour repousser le requin. Alors Doc remonte, cherche à la surface une solution (ben voyons !) Et là... et là !... ET LA !!!!!!!!!!!

 

DEUS EX MACHINA !

 

 

Quand le scénariste est bourré, il est capable de n'improte quoi

 

 

Le Chien, CE PUTAIN DE CHIEN QUI DEVRAIT ÊTRE MORT !!! Et bien il est vivant et ramène le bâton au DOC !!!!!!!!!!! Il a passé plus de huit heures à surnagé au milieu des requins !!!!! A trouvé devant lui le bâton !!!!!!! Et le ramène au crétin !!!!!!!!!!!!!!!! Putain mais ça déchire !!!!!!!! Mais non imbécile ! Le bon sens ! Ca déchire tout bon sens !!!!! Il a fallu passer un fou rire interminable en voyant ça ! Le ridicule ne tue pas ? MAIS PUTAIN C'EST FAUX ! C'est l'anonymat qui ne tue pas ! Un scénariste comme ça, faut l'empailler pour dissuader les autres !

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23 septembre 2011 5 23 /09 /septembre /2011 16:58

Avec un grand retard et un grand dépit, je finis par m'éatteler à écrire quelques lignes, promis pas plus, sur ce film.

 

..............

 

Avec ça tout est dit.

Si le sujet pouvait faire fantasmer - Des aliens attaquent la Terre en plein far west - la bonne idée s'arrête là. C'est un film finalement languissant, mollasson, avec de fausses séquences de psychologie approfondies qui nous est offert. Enfin offert ! Au prix d'une place plein tarfi quand même !

 

 

Bon, il y avait certes des signes avant-coureurs !

Par exemple mettre Jon Favreau à la réalisation. Non content d'avoir parfaitement salopé Iron Man en en faisant une parodie de parodie de film, il y apparait en tenant le rôle du chauffeur du héros. Et bien dans cowboy et envahisseurs, Surprise pour ceux qui comme moi croient au miracle de Noël toute l'année : Il n'a pas eu lieu ! Le film est réalisé comme une quelconque, plate, chiante ressucée de Iron Man.

Olivia Wilde, certes elle n'est pas mauvaise actrice, mais elle ne constitue dans le film qu'un atout charme qui pour être franc se resume à une phrase de direction d'acteur : "Vas-y chérie, remue un peu ton cul sous le nez de la caméra !" Quel drame de voir que la pauvrette, pour être n°13 dans Docteur House (un rôle bien plus profond que celui de ce film) se voit attribuer un personnage de fille forte fadasse et transparente...

J'arrête la liste, elle est interminable... Et tous ces signes de la fin ne m'ont pourtant pas dissuadé d'aller souffrir au cinéma devant ça.

 

Pourtant certaines chose m'incitaient à y aller ! Daniel Craig avant tout ! Le seul vrai grand puissant et sauvage James Bond ! Et dans une bien moindre mesure, l'opportunité de revoir HArrisson Ford.

 

 

 

Pour couper net le suspens voilà la conclusion :

 

- Daniel craig est un acteur grandiose, fabuleux. Malheureusement on le fait jouer ce personnage inodore comme James Bond. S'en ressent une interprétation hors contexte et complètement en contresens. Il est classe, fort, grand sens de la mise en scène, mais c'est censé être un cowboy bordel de merde !

 

- Harrison Forde est mauvais comme un pou. Je me demandais il y a 10 ans déjà s'il n'était pas temps de le voir disparaître des écrans, histoire de dissimuler le néant qui commence à le remplacer. Ben je me demandais, maintenant je sais ! Il est tout pourri dans ce film. Mais ça fait une décennie qu'il est comme ça. Pas de surprise, juste une certitude : Quand on devient mauvais, vaut mieux s'effacer en laissant le goût de ce qui a précédé. Indiana Jones c'était pas un grand film ou un grand rôle, mais au moins c'était du pop corn spectaculaire qui laissait un bon souvenir.

 

- Le scénario est complètement ahurissant de non sens : Des Aliens attaquent la Terre pour en piquer l'or. Puis ils kidnappent des gens en masses pour manger / Stocker / étudier / Jouer à docteur Maboul,  Mais y'ne a un qui s'échappe et va se venger Daniel Bond Craig !!! Une pupute se joint au convoi et finit par mourir dramatiquement... Avant de revenir à la vie ! Car c'est un alien !!! mais pas la meme race. Finalement l'assaut est donné sur la base ennemi (Ennemi au passage qui est incapable de se prémunir contre sa propre arme, ni de tuer un humain à 20 contre 1... Encore une race débile qui traverse l'univers pour venir mourir en paix face à un Highlander). Les prisonniers sont sauvés, et la sidekick insupportable (l'alien joué par Wilde) se sacrifie pour détruire la base alien qui s'envole pour fuir. Oui, parce qu'apparemment il fallait un quota "sacrifice" pour pouvoir finr en beauté. et éviter que le héros veuille se tringler une alien. Personne n'a donc jamais appris à ce personnage le lancer de bombe au lieu du "dépôt de bombe". BREF ! Tout ça ne tient pas trop la route, voire complètement pas.

 

Mais le final - pour finir en beauté - m'a fait marrer par sa stupidité marquée et digne des plus grande lignées consanguines... Oui, désolé, j'avais promis de plus aprler du Nord.

DONC ! Au final les gens sont contents parce qu'en bousillant ce vaisseau ils savent que plus aucun alien de cette espèce reviendra parce qu'ils perdus un vaisseau, donc ils reviendront pas. Ca laisse songeur, hein ? Moi non plus j'ai pas trop comprit. Si une race belliqueuse devait perdre un vaisseau d'exploitation sur une planète réputée peuplée de races primitives, elle s'empresserait de lancer ses troupes et finir toute forme de vie, histoire d'éviter que les primitifs deviennent encore plus forts ! Crétin !

Le vaisseau alien est une immense structure propulsée par des réacteurs. Lors de son décollage on voit la poussée des réacteurs... Les flammes... Violentes... Puissantes... Pour un vaisseau plus de vingt fois plus grand qu'une navette à nous...

... Putain mais la poussée qu'il faut pour un truc comme ça ! Les hommes se tiennent à quoi, même pas cent mètres lors du décollage ? Mais il devrait plus rien rester sur une borne, bordel de merde !

 

- On a gagné ! On a gagné ! On a ga-

WOUFFFFFFFFFFFFF

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15 septembre 2011 4 15 /09 /septembre /2011 21:02

J'ai souvent dit que, outre puer la merde, Inception laissait dégager le nauséabond parfum de déjà vu, de clichés et de couillasse intellectuelle dénué d'intelligence, prompt à prendre les gens pour els cons et leur faire croire qu'ils sont trop intelligents, car ils ont compris des trucs trop au delà du premier degré, alors qu'en fait, c'est un film, à zero virgule cinq degré, et que c'est une belle chiasse de macaque, et que la phrase commence à être quand même super longue là !

 

Et bien j'étais encore en dessous de la vérité !

Car j'ai fait une découverte à hurler de rire. Et quand je dis de rire, ce devrait être d'indignation...

 

Lors de mes périgrinations internautiques, je suis tombé sur un film que je me suis empressé de regarder, tant le pitch me claquait au visage comme une arrière goût de bis.

 

 

Inception, diarrhée gastronomique d'un cinéma qui prend Macdo pour du Fouquet's, date de l'année dernière, de 2010. Cehf d'oeuvre s'il en est de la blague qui perd de vu son objectif humoristique, il est comparable à une smart qui tenterait de concurrencer des lumousines quand on le met face à des films... Disons simplement de bonne qualité, ce sera déjà pas mal. Et au détour d'un sentier du traître World Wide Web, toujours prêt à faire ressurgir du fond des Abysses des oeuvres que l'on croyait perdues, j'ai trouvé le vrai, l'original !

 

 

DREAMSCAPE, pour ceux qui l'ignore, est un film datant de 1984. Dont le principe est très simple :

Un jeune télépathe qui a fui le savant qui a naguère fait de lui un cobaye - et pas avec des électrodes dans le derche, juste des essais sur sa capacité et sa précision, ce genre de choses - est rattrapé par ce dernier. La raison : Il lui propose d'intégrer son équipe de recherche, qui vient de mettre au point un système révolutionnaire qui permet de rentrer dans les rêves. Et étant un télépathe d'immense talent, le savant espère faire de lui le meilleur des explorateurs... Disons Onironautes (ouais je suis comme ça, j'invente des mots !... J'espère juste qu'il existait pas déjà, parce que ce serait vraiment l'accident bête). Cependant ce genre de manoeuvre comporte des risques, et certains explorateurs sont déjà morts. Car l'esprit, malgré toute la conscience qu'il a du rêve, a tendance à assimiler les dommages infligés à la projection comme des dommages infligés à la personne. Et le coeur a parfois du mal à résister.

 

J'en dis pas plus, parce que contrairement à Inception, il y a de vrais eneux ici, pas juste du rapiéçage merdique de recueil de clichés déjà digérés et plusieurs fois régurgités.

 

 

Ce qui m'a frappé, c'est que tout ce qui semblait parfaitement à chier dans le fiml de 2010, tel la gestion du temps, Le fait que la technologie puisse être utilisée par le premier connard venu, y compris si c'est un type super recherché mais que tout le monde aide, etcaetera et caetera... Tout ça est en fait complètement absent de l'original ! L'univers tient debout tout seul ! Ben merde alors ! Les rajouts et enlèvements de monsieur Nola, qui a si longuement prétendu avoir cré un film original et inventé tout dedans, ne font qu'enlever des liens logiques du background et tue dans l'oeuf tout semblant d'intelligence !

 

Bon, mention spécial au fait que, bien que Cillian Murphy et Michael Caine soient des acteurs exceptionnels que j'adore, ils sont le seul argument pour songer de loin, dans un moment d'égarement, à voir le film. Alors que l'original, DREAMSCAPE, contient des noms qui font rêver, comme Dennis Quaid, Chrisopher Plumer ou encore Max Von Sydow.

 

Mais encore une fois, rappelons nous que dans la conception actuelle de la fiction cinéma, le poste le plus important d'un budget reste "Communications". Et que faire un film avec de gros moyens, c'est surtout être prêt à investir pour inonder le consommateur d'images et de trailers, de teaser et de grands panneaux, d'affiches, d'interviews... Et tout ça se paie. Mais se rentabilise avec une belle ampleur. Et plus la pillule est dure à avaler, plus elle passe facilement pour une spectateur !

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10 septembre 2011 6 10 /09 /septembre /2011 14:53

Après un temps de retard, voilà que je confesse être allé voir un monument de l'Hollywoodien destiné aux moins de 18 ans. Destination Finale 5.

 

Destination

Finale

...

5...

 

 

Bon globalement, faut admettre qu'il était dès la bande annonce plus enthousiasmant que les 4 précédents.

 

 

 

 

Quelques remarques sur le film quand même, hein !

 

 

 

Je m'étais attendu à ce qu'on appelle dans la région une belle cagade. Et j'avoue non sans culpabilité, que le résultat est plus agréable qu'il n'y fut attendu. Sans parler de "bon film", il est tout au moins à noter qu'il s'agit d'un bel effort pour passer d'une franchise NAC (Nul à Chier) à VR (Vaguement regardable).

 

Point positif, le générique d'introduction. Même si certains de mes camarades (on se soutient au cinéma. Voir seul certains film peut provoquer des dégâts cérébraux irréversibles) l'ont trouvé longuet, je le qualifierais plus volontiers de bonne surprise ! Musique réussi, effets 3D pas dégueu (oui 3D... On doit préciser aujourd'hui quand un film ne l'est pas, tant le procédé est systématisé), et contenu visuel qui annonce la couleur et met en scène des tas d'objets dangereux (Enfin, dangereux dans le cadre dec ette franchise. Je me suis jamais fait attaqué par une échelle ni fenêtre personnellement) dans des ralentis Snyderiens certes sans maitrise, mais avec une belle volonté de faire bien.

 

Aussitôt le film commencé, on saute tout droit dans le classique des Destination Finale... Une situation catastrophique prophétisée par un blaireau qui se retrouve du coup à sauver un paquet de monde de ladite catastrophe. Et là, la mort décide de les buter un à un pour compenser cet affront fait à son omnipotence. Bon, quand on démarre avec un antagoniste aussi caractériel on ne peut que comprendre que depuis le premier film personne ne parvienne à lui échapper. La garce...

 

Mais là où le film donne une dimension nouvelle au problème, c'est quand Tony Todd (le grand black à l'air toujours tranquille, celui qui a donné vie, corps et âme à CANDYMAN !) informe les protagonistes de la possibilité d'étendre leur durée de vie en tuer quelqu'un à leur place. Ainsi ils profiteront du temps qu'il restait à leurs victimes. Qu'il soit clair, il ne les incite pas à le faire, il leur parle juste de cette possibilité, car en la matière il ne fait que des supposition. Mais toujours est-il que c'est là le point le plus puissant du film ! Tuer pour échapper à la mort. Dès lors on imagine que le film va s'orienter vers un grand combat personnel, où chacun va tenter de se convaincre, ou non, de passer à l'acte. Peut-être que le choix de la victime est un autre effort qui va être mis en avant dans le scénario !

Bon coupons court à vos fantasmes. Non. Le film s'appelle Destination Finale. Le côté psychologie de l'ensemble des personnages doit pouvoir tenir sur un post-it. Au delà ça deviendrait vulgaire. Du coup pas de combat intérieur, ni de réflexion pertinente, encore moins de mise en scène originale ou intelligente. Hein ! On reste dans du classique ! Ceux qui teunt le font par accident, et finalement ils ne profitent aps d'une espérance de vie bien plus longue, puisuq'ils meurent deux semaines plus tard dans...? Dans ???? Dans le crash d'avion du premier film ! Et celui qui n'est pas dedans se prend le réacteur sur la couenne !

Oui, ce n'est pas d'une grande originalité, mais c'est un bel essai que de finir sur le début ! Et ça permet de clore la série sans demander l'avis aux gens qui voudraient continuer ! C'est d'ailleurs la plus grande qualité de cette chute : Euthanasier la franchise.

 

Une petite remarque sur les morts. C'est assez positif aussi, car outre le gore outrancier, c'est toujours d'une manière inattendu que la mort arrive. Par exemple comme le montre la bande annonce, un type va chez l'acupuncteur (Lui pensait que c'était un bordel camouflé... Enfin bref), et il finit par tomber de la table face vers le sol. Mais ce n'est ce qui va le tuer ! Car un liquide inflammable s'est répandu dans la pièce et prends feu. Et ce n'est pas ça qui va le tuer ! Assis contre le mur du fond, heureux d'avoir survécu, il prend une statue de Bouddha ultra lourde sur la tête. Giclée de sang et de bouts divers partout. Ca y est, il est mort !

 

 

 

Maintenant le spectacle !

 

 

 

 

A l'occasion de cette sortie cinématographique, nous nous sommes retrouvés dans une salle pleine. Et juste derrière nous, au troisième rang, nous avons eu la suprise de constater la présence d'une bande de ch'tis. Durant tout le film, ils ont échangé des remarques d'une finesse intellectuelle rare. De briller apr des remarques pertinentes. De parler avec la discrétion d'un agent secret.

 

C'est là qu'on voit que le mariage entre cousins et frères et soeurs peut provoquer des mélanges génétiques hasardeux et malheureux. Il faut que quelqu'un prenne la peine d'expliquer à ces gens qu'un arbre généalogique ne peut pas être un tronc. Il faut mixer les gènes et diluer les tares. Et à vous, chers amis du Nord qui lisez ces lignes, sachez que je vous aime beaucoup. Trop sans doute. C'est pour ça qu'un jour je serais obligé de lever une croisade contre la pureté du sang. Vous avez vu le résultat ? Vous ne parlez même plus français. Les plus purs ne parlent même plus ch'tis d'ailleurs ! Vous avez une langue parlée par votre seule famille ! Mais quand votre famille c'est tout le village et les trois aptelins alentours, il est temps de couper le tronc ! En plus cet accent ! AH MON DIEU CET ACCENT !

 

- Boh olars hè ! to vu, hain ? Y'o uh viss lo ! Ai vo morchè tsu lo ! hè to vu hè !

 

... Mais évidemment bougre de crétin au sang noirâtre ! toute la salle a vu qu'il y avait une vis et que quelqu'un allait marcher dessus ! Et des fois qu'il y ait un crétin qui ait pas compris, il t'aura sûrement entendu !

elle est resté cinq minutes sur la poutre cette vis. CINQ MINUTES ! Et le consanguin est resté cinq minutes à partager avec deux ou trois cents personnes sa finesse d'analyse. Et finalement ce n'est même aps la fille qu'on pensait qui a marché dessus.

 

Oui, au début ils m'ont gonflé, cette brochette de cerveaux déficients. Mais finalement ils étaient plus exaspérants qu'énervants. Ils avaient un comportement très... Familial. Dès que quelqu'un leur disait de la fermer ou qu'un "CHHHHHT !" résonnait, ils se taisaient tout de suite. Puis rapidement recommençaient à chuchoter. Puis de fil en aiguille recommençaient à parler à un volume normal. Et finalement, le temps passant ils ont commencé à nous faire marrer. On comprenait pas tout ce qu'ils disaient, mais ils sont devenus l'attraction. ENfin pour deux d'entre nous en tout cas. Et si le film n'a pas laissé un souvenir indélébile, en tout cas ils nous ont aermis d'en profiter à sa juste valeur et sans en attendre plus.

Ce qui a été plus surprenant, c'est qu'à chaque fois qu'ils fermaient leurs museaux, nous constations la présence d'autres gens du nord dans la salle. Et d'autres personnes pour leur dire de la fermer.

 

 

C'est pas beau de se marier dans la même famille ! Ca donne des gens bizarres !  Celui qui sait faire une addition il est maire du village ! Si quelqu'un sait multiplier ou diviser, alors là... On en fait un député !

 

 

 

 

 

Au final, le film aurait été moins amusant sans eux. Mais je ne recommande tout de même à personne d'aller le voir. Par contre je vous conseille très fortement un documentaire très intéressant et très fourni sur le comportement de l'HOMO NORDICUS CONSANGUINI,  Il se trouve facilement : DELIVRANCE. Avec ça vous saurez à quoi ressemble l'ennemi.

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27 août 2011 6 27 /08 /août /2011 01:16

...

Je sais même plus par quoi commencer.

Cette semaine j'ai vu encore beaucoup de films. Dont deux au cinéma. Et pas des moindres. Si Cowboys et Envahisseurs m'avait déjà bien fait mal, La Planète des Singes : Les origines a failli avoir ma peau.

Si le film est un très long cumul de clichés et de situation scénaristiques bateau, vu des milliers de fois, la mise en scène est encore au-delà en terme de platitude. Les grands élans de mélo à mourir d'ennui ; les scènes noyées de musique qui en disent plus long que tous les dialogues du monde et allègent le jeu des acteurs ; La morale Ô combien imbuvable de la science mère de toutes les dérives malveillante ; Et tout ce que peut contenir le film. Si si, tout. Car le moindre détail est une réponse à un critère de technicité scénaristique et /ou de réalisation. Pas la moindre, pas la moindre once de vie, de passion, de force, de puissance. Rien n'est pardonnable dans cette fiction qui pose les mains sur une oeuvre éminemment majeure du cinéma.

 

 

Plutôt que me perdre dans les sursauts chiamment chiants de cette immondice, voilà une petite liste des choses qui m'ont frappé, voir stupéfaites.

 

 

 

 

- Il y a sans doute de vrais singes dans le film... Mais l'écrasante majorité est tellement factice dans ses déplacements et son maintien qu'on ne retiendra que ceux-là. Alors j'entends déjà quelques imbéciles abrutis par la consanguinité de leurs généalogies répondre "Oui, mais ils sont plus intelligents grâce au produit ! Du coup c'est trop normaaaaaaaaal qu'ils soient comme ça !"... Certes cher ami consanguin. Mais la première scène du film montre des singes en pleine nature, pas encore soumis à un quelconque traitement. Et pourtant ils ont déjà un comportement beaucou trop humain. Ca me gavait déjà. En plus, EN PLUS , les cascades simiesques dignes des Yamakazi, ça pue la merde. Pour finalement courir plus vite que leurs poursuivants... J'aimerais bien voir ça, tiens !

 

 

 

- Y'a -t-il un singe de taille NORMALE dans l'avion ? Depuis quand un chimpanzé déplié est de la même taille qu'un homme (James Franco n'est pas un gnome) ? C'est quoi cette blague ? Et le gorille ? Il a été piqué avec quoi ? Le Serum du Space Marine ? Il fait la taille d'un cheval (qu'il arrête à mains nues d'ailleus), et à quelques uns, ils poussent un bus assez rapidement ! Bus Renversé je précise... Pas de roues pour s'aider ! Je parle même pas de l'Orang Outan aux proportions... Disproportionnées. PS : A nouveau tous ces animaux sont de tailles impressionnantes, avant même être contaminés.

Alors c'est sûr, s'ils étaient de tailles normales, ils auraient plus ramé à savater des brigades d'interventions armées de M4...

 

 

 

- Pourquoi toutes les bestioles font des bonds de plusieurs dizaines de mètres sans la moindre blessures ? Passent leur temps à traverser du verre (des vitres en façade de building, le genre qui vous tord le cou plutôt que s'égratigner) sans la moindre coupure ? Evidemment que personne ne peut les arrêter ! Ils craignent rien ces primates !

 

 

 

- Pourquoi les acteurs ne servent à rien de tout le film ? Aucune nuance, aucune infime variation, aucune vie... Même le type qui joue Charles, le père souffrant d'Al Zeihmer, il est d'une fadassitude... On dirait qu'il a joué dans Avatar et subit les séquelles d'un choix difficile. La part belle est faite à César. Le chimpanzée héros du fiml. On le voit tout le temps. Tout le temps. Tout le temps... Et encore un peu entre les deux. Tant mieux me direz-vous, puisque c'est son avènement que raconte le film. Dommage répondrai-je, tant il paraît factice et son visage est surhumanisé. Il est comme Hulk, incrédible. C'est censé être un singe, pas un homme, putain de merde ! Ou alors on respecte les films originaux et on change carrément l'aspect des bêtes ! Là ça n'a aucun sens, nom de Dieu !

 

 

 

- C'est quoi cette manie de propreté ? Y'a pas un seul singe qui tue quelqu'un directement ! Et César évite toujours que les siens dérapent ! Crétin de merde, va... Quand Tom Felton (qui croyait faire oublier son rôle de Draco Malefoy dans ce navet) meurt, c'est un pur accident ! César ne savait pas que eau plus matraque électrique égal aïe aïe aïe... D'ailleurs si la matraque tue pas en temps normal, pourquoi tuerait-elle comme ça d'un coup ? Enfin bon. Quand Le gorille décide de démonter l'éhélico à la main, il le fait s'écraser et ne tue eprsonne de ses mains. Tout juste pousse-t-il un type qui tombe dnas le fleuve quelques dizaines de mètres plus bas. D'ailleurs, l'hélico se crashe sur le pont, en feu. César sort gogo le gorille de là... Vivant... Agonisant dans un souffle épique... Pas UN POIL CRAME ! Putain... Même le singe psychoconan, le balafré qui veut faire la peau du PDG malfaisant ne le tue pas. Il pousse l'hélico et laisse tomber la carlingue. Notons au passage que le singe psychonan a décidé arbitrairement qu'il en voulait à ce pauvre financier et nourrissait pour lui une haine violente. Le tout sans raison... Ah si, il l'a vu une fois...

 

 

 

- D'où il sort cet Orang Outan si intelligent qu'il conait bien le langage des signes et se tape la causette grandement fournie en vocabulaire avec César ??? Et qui en plus lui dit que les singes sont crétins !?!? S'il était pas le seul doté d'intelligence, sur quoi reposerait le film ???????? Finalement cette évolution serait naturelle et la science ne serait plus un grand méchant ??? En plus elle serait balèze cette souche de virus qui ne fait pas devenir intelligent, mais se contente de mettre tous les singes au même niveau que leurs élites ! Ouaaaah putain !!!! Putain ça déchire le fonctionnement de la nature !!!

 

 

 

- Je supporte plus les films qui "dénoncent" les dérives de la sciences. Ca pue, c'est STUPIDE et complètement faux ! Et d'un point de vue créatif, c'est risible de nullité tant c'est vu et revu. En plus la science ça reste un outil, espèce de scénariste débile ! Quel intérêt d'une stupidité immonde de faire dire à un personnage "Il y a des choses qui ne doivent pas être changées" ! T'as déjà regardé un malade d'Al Zeihmer dans les yeux pour lui dire "Bien fait pour ta gueule ! C'est la nature qu'est comme ça, c'est que tu l'as sûrement mérité ! Enfin pas toi, mais ton espèce qui vit si vieille ! Tu mourrais jeune t'aurais pas le cerveau qui dégénère !" Pauvre con ! La science fait avancer justement la médecine et repousse les limites du faisable ! Mais en la matière il n'y a pas de "droit" du faisable ! Un volontaire reste un type qui a tous les droits sur lui même !

SAC A MERDE DE SCENARSITE SANS QUEUE NI TETE !

 

 

 

- C'est quoi cette connerie ? Le fameux "virus" guérisseur dans sa nouvelle version est mortel pour l'homme et transmissible par voie aérienne !? Les hommes sont censé avoir régerssé suite à une guerre nucléaire totale et au retour à une vie plus tribale, et surtout quand les singes ont pris le pouvoir et les ont parqués ! Là, on a un final préapocalyptique pompé sur l'armée des douze singes ! Un gros naze prend l'avion chargé du virus ! Dans cette version il est pilote et porteur malgré lui du virus. Pas une grande différence ! Mais d'une nullité copicativiste violente ! Le tout mise ens cène platement et sans relief (je dis pas ça pour la 3D, puisque le filmé n'est qu'en 2D, hein !)

 

 

 

- Qu'il est facile de voler des produits hautement surveillés dans un laboratoire américain...

 

 

 

- Au fait, quitte à mettre des clins d'oeil au premier (comme Beaux Yeux le surnom de la mère de César, et de Charlton Eston dans le vrai), autant qu'elles soient fidèles... La mission spatiale suivit par le premier film, le seul, le vrai, avait pour destination Aldebaran (de mémoire) et absolument pas Mars... Le voyage était lancé avant l'hypothétique arrivée à destination quelques siècles plus tard, en espérant une réussite, mais dans la plus grande expectative. Là, on mentionne une mission spatiale pour Mars qui arrive à disparaître en route... Quel intérêt ? Surtout que si on commence à perdre des engin sur des distances si courtes, faut arrêter sur le champ !!!

 

 

 

- Pourquoi la réserve à primates où est enfermé César compte, tout au plus, une vingtaine de cages - Allé, disons trente, soyons pas radins - Pour voir une petite centaines de singes dévaler la colline et se répandre ? Et malgré les pertes, ils sont chaque instant plus nombreux ! Et c'est pas la toute petite vingtaine qu'ils aident à fuir du zoo (et qui demeure un troupeau sans intelligence) qui va constituer un grand renfort

 

 

 

- L'armée n'arrive pas à gérer le problème... Pire, elle n'intervient pas, juste quelques gars genre SWAT. Pourtant il est bien dit que la situation est catastrophique et qu'il faut absolument éviter la prolifération des bestioles ! Normalement à ce stade (vu le nombre d'heures entre le début des hostilités et la fuite effective), toute la région est bouclé. Des hélicos font parler le napalm sur le pont et des mesures antiterrorisme Nucléaire / Bactériologique ont scellé la région... Y COMPRIS SON AEROPORT, TAS DE CONS ! Singes morts, Virus en qurantaine, contaminés zigouillés, zone pacifiée, merci d'avoir joué.

 

 

 

- Alors un dernier mot sur la fin. Parce que là, j'ai eu salement les glandes... Comment peut-on OSER mettre de grandes musiques, souligner un élan de liberté positiviste dans la bande son et la mise en scène, soutenir que c'est beau et un juste retour des choses, quand la situation donne gain de cause à césar dans un film s'appelant "lA PLANETE DES SINGES" ? Rappel des faits :

- César prend le pouvoir.

- César instaure les bases de la civilisation simiesque.

- 27e siècle. Dans l'espace, Taylor (Charlton Eston) enregistre un dernier message sur le journal de bord, où il fait part de ses craintes, espoirs, tout en jetant un regard distant et plein de dédain sur son chemin, delà où il vient, là où il va.

- 40e siècle. Le vaisseau s'écrase. Les trois survivants errent sur une planète désertique inconnue. Leur vaisseau à coulé dans un lac. Ils ne peuvent qu'aller de l'avant. Ils découvrent un monde où les hommes sont redevenus primitifs et les singes dominent. Taylor est le seul survivant à une partie de chasse simiesque. Après avoir souffert de mutisme suite à une blessure à la gorge, il parvient à communiquer avec deux chimpanzée, Zira et Cornelius et leur raconte la vérité sur ses origines. Il se heurte à une société de castes ultra rigide où les orang outan en bon superviseur et gardien du culte refusent de l'entendre. Quand il parvient enfin à fuir, il découvre que depuis le début ils se sont écrasé sur Terre (iaginez le coup violent asséné aux spectateurs de l'époque pour qui la surprise de la chute était encore intacte ! Et regardez le vrai film, il est d'un talent incommensurable).

Dans sa fuite, il rencontre les derniers humains encore civilisés. Ceux ci, mentalement dérangés, sont devenus télépathes et vénèrent une bombe. La plus grande, la plus puissante, l'Alpha et l'Omega. Suite à un enchainement d'événements catastrophiques, les singes débarquent dans leur repère et les massacrent. Et pourtant... C'est Taylor qui active la bombe dans un dernier geste pour mettre fin à la démence de ces deux civilisations. L'intervention des singes à précipité la fin. La Terre est détruite.

Alors comment en sachant tout ce qui attend l'humanité peut-on OSER montrer l'émancipation des singes comme un instant fabuleux de liberté et de justice, putain de borDEL DE MERDE !!!!!!!!!!!!! C'EST LE PREMIER PAS VERS LA FIN TOTALE DU MONDE !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

 

Avis aux amateurs : La fin du monde, c'est la fin du second film. La saga en compte cinq. Et je vous encourage vivement à les voir tous. Le génie et le talent de ceux qui ont fait ceux-ci restent toujours aussi impressionnant de nos jours.

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20 août 2011 6 20 /08 /août /2011 03:20

Avant de parler du film, quelque chose m'a frappé alors que nous sortions de la séance. J'étais avec quelques amis. Et l'un d'eux m'a dit "J'ai hâte de voir ce que tu vas en écrire". Et il me l'a répété une petite poignée de fois. C'est là que j'ai compris que ces quelques pages jetées sur la toile peuvent compter. Elles comptent. Elles distraient. Elles occupents. Elles font rire. Elles donne des envies. Elles en répriment d'autres. Bref, elles ne sont finalement pas anodines pour quelques qui se prend à les suivre. Alors cette page, Elle est pour toi Olivier. Pour ta petite remarque qui m'a donné envie de te vendre le bonheur d'un instant à relater ce que nous avons vécu ensemble, dans une salle obscure. Une tentative de viol moyennant finance.

 

 

Conan

 

 

Le film démarre sur une courte intro en animation. La première chose qui saute aux yeux, c'est la carrence de talent qu'il a fallu pour faire une animation cheap, laissant penser qu'un enfant a voulu jouer les metteurs en scène too dark. Pour le coup c'est inutile. La petite séquence d'explication ne sert d'ailleurs pas à grand chose. D'ailleurs, à titre personnel, je trouve assez chiant les films commençant par un résumé n'exposant qu'un aspect très pointu de l'univers (ici l'Acheron et le masque des Nécromanciens capable d'en faire des machines à tuer). Au final on se retrouve toujours avec une intrigue qui ne tourne qu'autour de ça et fait abstraction du reste de l'univers (ici Conan qui va affronter un type qui à tout réuni pour utiliser le masque et devenir le maître du monde).

- Mais, me direz-vous, on ne vient pas voir Conan pour la subtilité scénaristique !

- Ben heureusement ducon, sinon devant cette version tu ferais des convulsions en te vidant de ton sang par les gencives.

 

 

Conan !

 

 

Le début narre l'épisode de l'enfance de Conan où tout bascule. Alors qu'il est tout jeune, que son village est attaqué par des hordes de sauvages et que tout le monde est massacré. Je rentrerai pas dans les détails c'est un passage très plaisant, sans être bon, qui a le mérite de donner au film un démarrage plutôt alléchant. Si on omet le fait que le gamin qui joue le héros jeune à tendance à jouer les énervés et que ça pourrait un peu gaver à force.

Cependant, notons d'un geste souple que cette scène finit par le meurtre du père de Conan, scène qui sonne le glas de l'intérêt du film. Rappelez-vous que Dante en son temps nous avait prévenu ! Il nous avait rapporté de ses visions que sur la porte des Enfers était écrit :

 

"Ô Cinéphage ! Toi qui assiste à la mort du Père de Conan fuit ! Ou abandonne tout espoir !..... Bordel, pauvre crétin je t'avais prévenu !"

 

Cette scène, parlons-en ! Pourquoi, pourquoi, POURQUOI faut-il que les scénaristes affectionnent à ce point les méchants débiles profonds, qu'ils leur donnent à tous cette caractéristique !? Au lieu de tuer Conan et son paternel, il attache le vieux à un petit chaudron de métal fondu et regarde le fils tirer sur la chaine qui pedouille pour éviter que son père finisse la gueule plombée par le métal en fusion. non mais c'est une blague ? Il brûle tout le village, fait des centaines de victimes en ordonnant le massacre méthodique de tout ce qui vit ; Homme, femme, enfant, betterave, chihuahua, cloporte ; Mais il préfère laisser les deux comme ça dans une forge en feu et partir sans s'arrêter qu'AUCUN DES DEUX ne ressorte ??? Pauvre crétin ! Tu méritais bien de crever à la fin du film ! Comment n'a-t-il pas pu penser que le gamin foutrait le camp un fois son père mort dans un geste de sacrifice ultime ?

 

 

CONAN !

 

 

Une vingtaine d'année plus tard, on récupère l'action au vol. Conan cherche à se venger, et pour ça il traque un type qui se trimballe une armée de fous enragés, d'engins de sièges (une espèce de bâteau qui sert de bélier à dos d'éléphants... Putain je vous jure c'est ça). Et ben ce gars redouté et connu de tous, personne ne le voit jamais passer. Personne sait où il est. Personne sait comme le trouver. Je savais pas que j'étais allé voir Conan vs Casper, moi...

Impasse sur les scène plus pourrir qu'un cadavre de zébu cuit au soleil, consistant à retrouver un des généraux du type et le massacrer sans intelligence, ni classe, ni bourrinage pour savoir où trouver le boss.

 

Bon, comme une arme absolue est toujours facile à trouver, le vilain méchant à le fameux masque sous la main. Mais comme il faut toujours un objet en possession d'antagonistes au méchant, il faut qu'il verse dessus le sang d'un membre de la lignée des nécromanciens de l'Acheron. Pourquoi faire simple, je vous le demande !!! Ca urait pas pu être d'une lignée royale quelconque, ou du sang tout simplement ! BREEEEF ! Il envahit un monastère où vivent des jeunes filles effarouchées, autour d'un espèce de vieux précepteur dégueu dont l'oeil lubrique mettrait mal à l'aise une vieille maquerelle centenaire. Une fois tout ce beau monde éviscéré, il apprend que la jeune fille qu'il cehrche à été mis à l'abri. une cariole a foutu le camp en quatrième vitesse à leur arrivée. Mais ses sbires l'ont prise en chasse ! Les sournois !!! Et Conan est juste là ! Il arrête leur tentative avec la délicatesse légendaire des bourrins du cinéma et sauve la jeune fille. On sent déjà poindre la scène d'amour. Mais à ce stade, Conan se contente de parler à la demoiselle comme si elle était un objet. C'est un tour de roublard du scénariste qui veut nous montrer que c'est un homme rustre et peu versé dans les manières. Mais la subtilité s'arrête à cette seule superficialité.

 

 

CONAN !!!

 

 

Il est temps de faire le point sur deux personnages et demi.

D'abord Conan et la damoiselle qui finira par tringler. Conan, dans ce film, c'est surtout un Psychonan. Il fronce tout le temps les sourcils et baisse la tête pour faire un regard qui vient d'en bas du pire effet. La plupart du temps il fronce tellement qu'on voit même plus la rétine de ses yeux ! Super la pause de taré enragé aux sourcils en "V". Dommage qu'on en ait rien à battre ! Qui plus est, son incapacité à parler sans grogner ou simplement gronder du fond de la gorge le rend encore plus visuellement débile et gratuitement agressif qu'il ne l'est déjà.

Sa copine elle est... Comment dire ça poliment.... ... . ..... .. . .. ... . Aussi utile qu'un cancer. Elle joue mal, sert à rien, rattrappe pas son boeuf de copain, passe son temps à l'appeler à l'aide, blablate plus qu'elle ne parle, ne se bat qu'accidentellement... Si les cinémas étaient dotés d'une télécomande, ce personnage à lui seul jsutifierait l'existence d'une touche "Euthanasie" dessus.

 

Le méchant est comme toujours motivé par la vengeance. Il veut que sa bien aimée ne soit aps morte en vain et que ses assassins soient châtiés. En même temps si cette pute avait aps eu pour projet de soumettre les peuples et tuer les récalcitrants, peut-être aurait-on trouvé une autre manière de gérer sa fin de vie que dans un grand bûcher. Dommage pourtant, le type qui joue le méchant est bon. Le rôle lui tape dans le creux.

Alors que dire de sa fille ! Jouée par la même actrice que la mère !!! Et dont la seule subtilité dans le jeu est de savoir si elle va faire quelques pas en dansant ou en sautillant. Le père est déjà un exemple marqué de personnage sans nuance, mais elle alors ! Record battu ! Garce, salope, pute, manquerait que le paricide et elle aurait la panoplie complète ! Pourquoi un tel langage ? Et bien pour uen scène simple et qui à elle seule montre comme le néant d'intelligence de l'auteur a su creuser au plus fort pour ne surtout pas donner de relief aux deux méchants... Ils baisent ensemble. Tout simplement.

Il y en a peut-être parmi vous qui penseront "non, ils ne couchent aps ensemble voyons !" J'ai moi-même vu le film avec un ami dénué au dernier degré de sens analytique et de capacité à faire le lien. Alors je réexpose la scène :

- Entretien privé entre le père et la fille. Lui veut la toute puissance pour ramener à la vie sa femme bien aimée. Sa fille pense que c'est pas super la peine, après tout elle est au moins aussi puissante qu'elle, et elle peut très bien assurer comme une bête pour lereste aussi. Le père l'envoie bouler. Elle revient à la cahrge et il se laisse convaincre quand elle se met à lui sucer les doigts.

- Scène suivante, ils sont réveillés par un tir de catapulte alors qu'ils sont dans le même lit et à moitié à poil...

=> Vous voulez un dessin où vous avez compris ?

 

pourquoi deux et demi ? Parce que la fille du méchant et la grognasse du héros valent pour un quart chacune.

 

 

CONAN !!!!!!

 

 

Je vais faire court parce que le reste du fiml est une insipide, longue et ennuyeuse succession de longueur parsemée d'affrontement aussi répétitifs qu'insignifiants, pour 'mattarder sur quelques points.

 

LA scène d'amour. LA fameuse scène d'amour !!!! Une scène où Conan couche avec une femme se doit d'être à la hauteur du héros ! Il fallait que le sommier tremble ! Que la tête de la pauvre créature secoue dan tous les sens ! Qu'elle finisse plus cabossée qu'aimée ! Bref ! LOVE MADE IN CONAN ! CROMMMMMMMMMMMMM !..................... Et ben là que dalle. C'est tout juste s'il respire en la tripotant - Tripotant - En la touchant du bout des doigts. On dirait que l e réalisateur a décidé de filmer les têtes de l'Île de Paques tant cette scène est immobile et molle. Il ne se passe rien. Mais je veux dire RIEN. Pas un mouvement, on dirait presque des statues ! En plus, d'un point de vue personnel, je m'en fous des scènes d'amour, elles peuvent bien être supprimées, ça me gênera absolument aps. Mais quitte à les mettre, franchement, on peut m'expliquer pour c'est le Cul de Conan qu'on voit le plus !? Super pour lui, le gars est musclé comme un athlétique et pire encore, il est sculpté comme une bête... Mais bordel, un film qui prône la décharge de testostérone devrait montrer plutôt une fille sculpturale que le cul du mastodonte décérébré ! Encore un crétin de réalisateur qui s'est dit "tiens, je vais innover ! Parce qu'en vrai je suis trop un génie de la mise en scène post néoréaliste nouveau !" Là ce serait surtout mise en scène post mortem tant c'est plat et chiant pendant presque deux heures.

 

Tiens ! Y'a aussi un truc rigolotement crétin ! Y'a un enchaînement de scènes au long du fiml qui permet de voir Conan changer d'armure à plusieurs reprises, le tout sans raisons... Surtout que pour revêtir une manche ( !? ) seule et unique de maille, ça sert pas vraiment de virer le reste... Autant rester en pagne.

 

Une autre mention spécial, respectueusement reconnaissante pour son grand talent au méchant. Qui ne trouve rien de mieux que se rendre seul avec sa fils au rendez-vous fixé par Conan. Ben logique, s'ils avaient été une armée, ils auraient eu toutes les chances de l'attrapper, et fin du film. D'ailleurs la fin de cette scène est aprticulièrement ridicule. Conan met le feu à une flaque de pétrole (en tout cas c'est e que ça semble être) et une pyramide de barils se met à exploser en tous sens... Comme s'ils avaient pleins de poudre noire. Mais si la poudre noire avait été mise au point dans cet univers, y'a quand même de bonne chances que le film finisse en commençant bande de débiles congénitaux ! Les Cimériens mangeaient des tirs de canons pour être massacrés, ou alors plus tard les méchants attaquaient avec des grenades primitives pour tuer tout de suite la défense ennemie, ou plein d'autres chose qui font que le problème ne se serait pas réglé à l'épée à chaque fois.... A PUTAIN L'EPEE !!! Quelqu'un peut-il 'mexpliquer pour ce gros CONNARD LE BARBANT se met à courir en rond comme une tapette dès qu'il n'a plus d'épée !!!!!!!!!! Son arme, il la perd dans plusieurs scènes et POURTANT ! Il emt en tout et pour tout deux bourre pifs  et ce à une seule occasion ! Pour rappel Conan, le vrai, l'ancien, il mettait même des tartes aux animaux ! Qui ne se souvient pas avec un mélange de rire et d'émotion de Schwarzenegger séchant un chameau d'un coup sur le crâne, parce que la bête lui a craché dessus... Ca c'était du bon, du grand, du vrai, du beau CONAN.

 

Tiens une autre question. Pourquoi le méchant doit-il effectuer son rituel dans un coin super exposer, en postant tous ses gardes dos à l'entrée d'où peut venir la menace ? Ah ben oui. S'il n'était pas débile il réussirait ! C'est la que le coup fatal est donné au film. Ce crétin réussit. Le casque est recomposé. Le sang de la fille coule, mais juste à peine, histoire d'être toujours sauvable par le héros. Un casque qui da'illeurs ressemble à un mélange entre la plaque qui scelle la croix dans Sanctuaire et le casque du chevalier d'or du cancer dans les désolants chevaliers du zodiaque.

- Et vous savez quels pouvoirs prodigieux gagne ainsi le grand méchant, hein ?

- Non, mais dis nous !!!

- Vous savez pas, hein !!!!!

- Pitié ! Ce suspens me broie les intestins, comme tout le reste du film !

- Tu ne sais vraiment pas !!!!

- Mais où trouver la réponse pour ne plus l'attendre !!!!!!!!!!!!!

- Dans ton cul.

Et c'est bien là tout le drame. Car à part provoquer sans raison clair et peut-être même que ce soit vriament le cas, l'autodestruction de la base secrète du méchant de James Bond, ben ça a pas grand effet ! Si. Le méchant a une tête de fessier avec un truc moche qui s'et soudé à son crâne. Avant il faisait de la peine, là il fait rire. Et en plus il a juste réussi à faire s'effondrer son repère. Encore un Winner !

 

Ne pas oublier la scène qui met le pauvre Conan dans une situation similaire avec celle où son père est mort. Il tient sa connass... Dulcinée au bout d'une chaîne, qu'il tente de faire remonter à une seule main sans la moindre raison, sinon celle d'obéir au script et de gonfler les muscles (Putain mais c'est complètement crétin ! Avec ses deux mains il aurait fait très vite !!!), et en face un méchant à dessouder, quand même super compatissant puisqu'il lui parle collé à lui au lieu de le tuer. Mais Conan c'est un fou ! C'est un malade !  C'est un tueur ! C'est un crétin consanguin ! C'est une fausse couche qui a survécu ! Il plante l'épée dans le pont en bois et le méchant tombe dans une rivière de lave au loin en contrebas... La seconde précédente il lui tient (je vous jure !) la main, et là il s'échoue comme une merde des centaines de mètres plus bas sans se retenir !

 

Un petit mot sur le 3D, car au final c'était la seule chose d'ont j'attendais une surprise. Enfin peut-être pas tant mais un peu de plaisir en tout cas.

- Alors c'était comment ?

- Comme si on avait essayé de me violer les yeux avec du javel et on me faisant payer la tentative en plus.

Eeeeeeeeeeeeet ouaip ! La 3D est inexistante. Et certaines scènes EN PLUS !!! Sont visuellement tellement chiées que la profondeur varie d'un coup à plusieurs reprises et fait cahnger les perspectives pour bien niquer les yeux des gens attentifs.Compression, expansions de volume se font dans le même plan avec deux éléments distincts mais suffisamment proches pour faire péter tout le crédit (même avec un fort seuil de tolérance) de la technique.

Et ce que je trouve vriamen le plus ridicule à ce sujet, c'est le fait qu'aucune combat à l'épée n'ait été mis en 3D. Des lames qui balayent l'écran, percutent la rangée juste devant vous, se plantent dans votre voisin, tout aurait dynamisé les combats pour leur donner une autre dimension que le simple combat standardisé d'épées. Surtout que là en terme de niveau zéro de créativité, on est dans la bonne moyenne !

 

 

Le mot de la fin ?

 

 

PSYCHONAAAAAAAAAA

AAAAAAAAAAAAAAAAA

AAAAAAAAAAAAAAAAA

AAAAAAAAAAAAAAAAN

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14 août 2011 7 14 /08 /août /2011 02:01

En grand fan de REC, je me devais de jeter un oeil, au moins distrait, à "En Quarantaine", le remake américain. Car en Amériiiiiique, il n'y a pas de ch... Ah non merde, ça c'est Fievel. En Amérique, donc ! On ne fait presque jamais de doublage. On refait tout simplement ! On refait, et on revend au pays d'origine - Et tous les autres dnas la foulée - le produit souvent avarié ainsi obtenu.

 

Bon, je vais casser tout de sutie le suspens, En Quarantaine est un dyptique qui aurait du y rester (en quarantaine). Car avec le premier film, les studios outre atlantique prouvent qu'ils peuvent faire un remake où ils ne changent rien des plans, mais dont ils retirent toute vie, toute âme, la moindre parcelle de talent. C'est chiant, joué en diagonale par des acteurs ni convaincus ni convaincants, avec un très léger remaniement scénaristique qui m'a fait mourir de rire.

 

 

EN QUARANTAINE 1 : Ca commence mal...

 

 

Le film est identique à l'original mais très chiant. Bilan quand on sait aps faire, ons 'abstient, tas de cons ! La fameuse différence, c'est ce final. Le fameux final !!!

 

Le final.

 

Si dans la version originale (espagnole (au moins on sait parfois faire des films dans ce pays à la con)) tout le long métrage est baigné d'une atmosphère poisseuse, de teintes éviquand la saleté, le vieil immeuble, si la scène finale se passait carrément dans une ambiance ocre,jaunie, ou carrément dans le noir, si le film avait cette identité visuelle forte, il n'en est rien pour la contrefaçon. Déja que les comédiens jouent comme des pieds palmés dans "En quarantaine", en plus l'ambiance est super aseptisée ! Le summum étant dans la scène finale tout ce décor bleuâtre hôpital qui fait super propre. Putain mais c'est quoi ça !!! Pourquoi l'endroit le plus pourri, où le virus court quasiment avec ses petites papattes à même le sol, c'est l'endroit le plus clean de tout le film putain !

 

Et le fin mot de l'histoire ! Quelle conerie à se rouler parterre en avalant sa langue ! Dans la contrefaçon, tout le problème est du à un virus crée par une espèce de secte apocalyptique de connards de Hippies décérébrés (pléonasme). Mais putain le gars a signé l'adaptation, il a lu le script ??? Il a regardé l'original avant ??? Dans le vria, le seul, l'unique, REC, il s'agit de la manifestation biologique d'une possession démoniaque !!! Le type qui est mort dans cet endroit était parvenu à obtenir ce qui ressemblerait le plus à un "virus" symptomatique de la possession démoniaque avérée ! Et il espérait pouvoir en tirer un antidote ! Un moyen médical de combattre la présence de Diable ! Putain c'était couillu comme tentative scénaristique !!! Dommage que ce con ait échoué et que la possession ait perduré !

 

Non mais y'a que moi que ça fait bondir ? Ben ceux qui restent assis en comprenant pas l'outrage, essayez d'avaler votre langue, ça rendra service à l'humanité en cas de réussite.

 

Je passerai sur le néant technique de ce premier volet j'ai déjà envie de manger les yaourts avec l'emballage pour mettre fin à mes souffrances.

 

 

EN QUARANTAINE 1 BIS : Ca continue mal...

 

 

- A l'autre ! Il a déjà parlé du 1 !

- Oui, bouillabaisse cérébrale, et alors ?

- Ben tu devais parler du 2 là, non ?

- Oui, tube à essai de tares intellectuelles et alors ?

- Ben tu l'as appelé 1 bis celui là, non ?

- T'es observateur toi ! Et tu l'as vu ce second volet ?

- Ben non !

- Alors ferme ta gueule.

 

Car En qurantaine 2 mes amis, ce n'est pas une suite, pas un film, mais un exercice grandeur nature de stupidité congénitale. Oui, oui, oui... Il est le croisement tout trouvé d'un manque total d'intelligence de l'adaptation américanisée ! La question s'est pourtant posée : Comment adapté une suite avant même sa sortie ? En n'en tenant pas comtpe !!! La seconde question s'est alors posée : Mais alors que raconter dans ce second volet ? Mais la même chose que dans le premier, boursouflure rampante !

EFfectivement, que dire pour sauver ce film... Le sénario est à l'identique du premier et utilise les mêmes mécanismes, les mêmes achétypes de personnages, les mêmes situations, et s'achemine vers une fin super stupide, même si quelques secondes durant (et vraiment pas plus) , elle laisse penser à un sursaut de bon sens. Peine perdue !

 

Quelques petits éléments pour ceux qui n'aurait aps vu ce deuxièmes et espérons le dernier opus. Un avion rempli d'une poignée de passagers décolle. Mais l'un d'eux, mordu par un hamster en cage, est contaminé. L'avion se pose en urgence quand le personnel au sol dit au pilote de le faire. L'aeroport est vide et confiné. Et le troupeau de survivant tente de survivre (logique) là dedans.

 

Bon je la fais en diagonale. On a toutes les situations de REC 1. Quelques exemples :

- Le gros passager qui remplace la grosse, premiere contaminé.

- Le vieux chinois tetraplégique (qu'on ne voyait pas mais dont on parlait) remplacé par un vieux tetraplégique.

- La gamine qui devient un gamin (mais aps contaminé lui).

- Le medecin de l'exterieur contaminé au final, qui devient un groupe de militaire dont un se fait contaminer (les autres partent à temps).

- La scene de la fille qui change et mord sa mère avant de foutre le camp, devenu une scene avec un chat qui change et mord sa maitresse avant de foutre le camp.

- le pompier qui veille la vieille au tout début avant de se faire contaminer, qui devient le pilote et le copilote qui tiennent le gros enfermé dans les chiottes de l'appareil avant de se faire contaminer.

- Le type qui connait l'immeuble et qui est infirmier, qui sait apr ou fuir, qui devient un duo : L'employé de l'aeroport qui sait par ou fuir et la passagère qui est dans la medecine militaire.

- La révélation finale sur l'origine de la contamination et sa nature, ben... Pareil ! Pourtant je croyais que tout était dit dans le premier.

- La scène finale dans le noir !!!! Elle devient une scène dans le noir !!!!

- La journaliste héroïne devient une hôtesse de l'air héroïne.

 

J'arrête là la liste qui peut encore s'allonger de pages entières pour un détail qui a son importance : La scène finale de En Quarantaine 2 se apsse dans le noir. Les personnages portent des visions nocturnes de l'armée pour avancer. Mais les techniciens dans leur génie démesuré n'ont pas remarqué que durant ces scènes on y voit parfaitement bien et que les acteurs font pathétiquement semblant de ne pas voir où ils sont et mettent leurs mimines pour pouvoir jsutifier de se balader avec des VN sur le pif... Putain ça fait amateurisme perrave de gros glandus même aps capables de réfléchir et regarder devant eux en même temps !

Un mot sur la "révélation" finale d'un protagonistes, qui revendique être à l'origine de tout ça, car il a emmené des rats contaminé... Ah ah ah !!! Il est membre de la secte hippie apocalyptique qui a trop regardé l'armée des douze singes et a oublié d'en garder le taleeeeeeent ! En plus le méchant mongoloïde est contaminé mais saiiiiiit qu'il a l'antidoooooooooooote ! Alors il se soiiiiiiiigne ! Dommage que ca ne marche paaaaaaaaaaas ! Et c'est lui le méchant de fin de niveauuuuuuuuuuuuuu !!!! Ah aha hahhh ahaha hah hah ah ahh !!!!!!!!

 

 

Avant de clore une petite précision... Le fameux sursaut de bon sens....

A la fin du film l'armée décide de détuire tout le bâtiment. Bon, manque de pot, les gens sont dans un film américains, du coup ils ont toujours une issue. Et en l'occurence, la destruction ne met même pas un cheveu en danger aux deux derniers héros, parce qu'ils foutent le camp. Tout simplement... Non mais sérieux ça vient de moi où ça pue comme film ?

 

 

LE MOT DE LA FIN, ET PAS DES MOINDRES !!!!

 

 

Ce qui faisait l'identité forte de REC et sa suite, outre son sujet décoiffant, c'était son utilisation très réussie du film "Found Footage" ( caméra à la Blair Witch) Là, dans En Quarantaine 2, le procédé a disparu ! Et c'est bien con !!! Car déjà que le film est pas franchement potable, il aurait pu avoir une illusion d'immersion dans l'horreur avec ça !

 

Et bien que dalle ! On peut se mettre ce bel effet en bandoulière et s'accrocher à une poutre avec pour se pendre !

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6 août 2011 6 06 /08 /août /2011 21:34

Avant tout qu'il soit clair : Je n'ai pas encore vu le film, seulement la bande annonce - Et quelle bande annonce ! -.

Mais pour ne pas prendre les choses dans le désordre, je voudrias juste donner quelques petites information sur l'univers :

- L'auteur de l'ouvrage dont sont adaptés tous les supports estampillés "Planète des Singes" est l'oeuvre de Pierre Boulle, auteur français visionnaire et génial. On doit de nombreuses autres créations réputées, dont le pont de la rivière Kwaï. Ce monsieur a été soldat et décoré à de multiples reprises, notamment par les médailles les plus prestigieuses.

- Une série de cinq films dont le premier est sorti en 1968. Si le premier est très librement adapté du livre, les suivants traitent de l'univers mais leur histoire dépasse le cadre du matériaux d'origine.

 

 

 

 

Si j'ai bien compris la bande annonce, c'est l'histoire d'un scientifique qui veut créer un médicament censé guérir Al Zeihmer en permettant au cerveau de régénérer ses propres cellules (Pour la coup y'aurait pas qu'Al Zeihmer dans le collimateur). Et ça doit passer (je ne sais pas encore pourquoi) par un bébé chimpanzée (encore un truc dans le genre test infaisable en labo, faut forcément le faire sur un truc vivant). Le scientifique finit par s'attacher  à la bestiole aux capacités intellectuelles fortes zr l'élzvze xommz un ^ztre humain. Mais un jour le singe s'emboucane avec un voisin qui brusque le père du scientifique et du coup faut le parquer avec les autres chimpanzée. Là il se démerde pour s'échapper, n'appréciant pas d'être traité comme une merde, et contamine toutes les bestioles qu'il peut avec le produit qui guérit la tronche et développe le cerveau. Et là, c'est le drame... Le début du règne des singes et de leur suprématie sur l'homme.

Ah au fait, le singe s'appelle César. Ca a son importance, je raconte pourquoi après.

 

 

bon, dis comme ça, ça a l'air de puer la merde. Et pourtant, ce doux fumet qui colle aux narines... C'est bien une envolée odorifique de relents nauséabonds de chiassecinématographique !

 

 

Nous prend-on pour des cons ?...

 

 

La réponse est évidemment oui ! Si le sujet nous est dévoilé dans ses moindres détails dans la bande annonce, il l'est avec une mise en image plate et quelconque.

 

"Roh le méchant il a même pas vu le fiiiilm !"

 

Certes, blaireau déphasé adepte de la semoule de pellicule. Mais peut-être que la force de l'habitude et la lourde expérience accumulée font que je sais déjà ce que je vais voir; Alors rassure toi, belette diphtérique, j'irai le voir pour m'assurer de ma bonne foi. Quitte à en faire finalement l'apologie s'il s'avère (mais les Dieux ne sont pas de si mauvais goût) que ce film est bon !

Cependant il faut à mon humble avis qui reste ma meilleure référence éclaircir un point risible.

 

 

... Complètement !

 

 

Ce film raconte la révolution qui permet aux singes de prendre le pouvoir. OK... Mais c'était déjà fait dans le quatrième film de la saga originale. MAIS le film se revendique comme n'étant pas un remake. OK les crétins. Mais les deux films, le 4 original et celui raconte la même chose : CESAR qui fédère les singes et les exhorte à prendre le pouvoir. Mais là où l'ancien usait de ressorts bien trouvés, d'idées surprenantes et terriblement réussies, celui là ne sort la 175e fable de l'anéne sur la malfaisance de la science. Parce quedixit la prod, le film soulève "certains des problèmes les plus épineux de notre époque" ; "Jusqu’où pouvons-nous aller sans violer les lois de la nature ? Quelle sont les limites ?"

... J'ai envie de vomir. Quand est-ce que les gens comprendront que lescience c'est pas l'ennemi ?  Pas de technologie, pas de voiture, de télé, de téléphone, de médicaments, de gourond dans la rue. Putain encore un film à la "chuis trop un ouf moi ! Je pose trop des questions que tu te poses pas toi !" Ben non crétin, et pour cause, j'ai déjà la réponse. La science n'est pas le mal abruti.

Bref, ici on trouve encore un film qui nous montre que l'homme se déshumanise au contact de la science et que la anture c'est trop terrible !!!! Alors j'epsère que dans le film, les hommes répondront à cette agression d'animaux sauvage par des hélicos et du napalm, sinon ça sera ridiculement stupide ! Au moins dans l'ancien, César guidait ses troupes pour prendre en temps record le contrôle des centres vitaux de la société présentée dans le film. Et on conséquence il s'assurait une victoire rapide et pas trop sanglante.

 

Et pour mémoire, dans l'oeuvre originale, les singes étaient omniprésents dans la société. Ils étaient partout. Pourquoi ? Pour une raison très simple et quelque part assez surprenante :

Les chats et chiens avaient été décimés par une terrible peste. Les hommes avaient ressenti un vide qu'ils avaient comblé en rendant domestiques d'autres espèces animales. Et ainsi les singes ont-ils envahi les rues et les bâtiments. Mais devant l'intelligence de ces animaux les hommes avaient décidé de les éduquer à des tâches simples. Et de fil en aiguille, ils se sont avérés capables de quelques responsabilités. et volà pourquoi à l'instant où César décide de se venger et de retourner tous ses frères contre les hommes il a si vite le dessus. Les singes sont PARTOUT. A tous les niveaux de la société et en grand nombre.

 

En outre, dans l'ancien César n'est pas trahi par "son Maître". Bien au contraire. Les autorités redoutent l'existence de singes intelligents. Et César est le fils de Zira et Cornelius après tout ! (voir les trois premiers films pour explications claires et complètes... Et en plus ce sont des films géniaux, ça vous fera pas de mal !). Lors du tabassage d'un singe par des flics, César ouvre sa gueule. Personne ne le voit, mais on l'entend. Hors les singes ne sont pas capables de parler. C'est son Maître qui endosse tout, et par la suite se suicide plutôt que livrer César. Ce dernier a fui. et outre les maltraitances infligées à ses congénères, Il veut venger la mort de son Maître.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

ENFIN, BREF !!!!

 

Plutôt que vous incitez à regarder ça, je ne saurai trop vous encourager à revoir els cinq films qui firent la légende de l'histoire de la planète des singes. Jusqu'aux dernières images du cinquième volume, dont le sens est encore difficile à définir. Qui sait, peut-être a-t-IL finalement réalisé son rêve inconcevable.

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28 juillet 2011 4 28 /07 /juillet /2011 17:31

Avant tout, petite note. Aujourdh'ui, je me connecte pour mettre un petit article gentil sur le blog. Et là, que vois-je ? Le compte des passages journaliers uniques passe d'une tranche à une autre ! Et le tout m'est révélé sur le tempo battant de la plus grande mélodie de l'histoire, alors que résonne la voix en live tonnant sa joie de vivre sur les paroles déterminées ! "Anyway the wind blows". Puis retentit le gong final et la mélodie s'éteint sous la clameur violente d'une foule innombrable massé dans un stade pour acclamer jsqu'à saigner des mains le plus grand de tous les artistes.

 

Je jure qu'un jour, un film remettra à nouveau sur le devant de la scène et sous les tonnerre de la gloire ces artistes illustres qu'il n'est plus nécessaire de nommer et présenter.

 

 

 

Mais pour l'instant place à ce que vous venez chercher ici. Laissons à nouveau voguer nos esprits vers des ciels moins cléments pour se heurter à des glorioles du cinéma, et plus rarement à des chefs d'oeuvres.

 

 

 

INCEPTION

 

Note : Mes souvenirs remontent au visionnage cinéma et datent un peu...

 

Déjà un petit mot à tous les blaireaux qui se prennent pour des anglophiles et ne parlent la langue de Shakespeare qu'avec un profond accent du fin fond des chiottes...

Je vous emmerde tas de glands ! Apprenez déjà à bien comprendre votre propre langue au lieu de faire semblant de pas comprendre les gens qui prononcent "à la française" le titre ! Surtout que les plus regardant (et ce même hors du contexte de ce film) sont souvent ceux qui parlent le plus incorrectement la langue dans sa prononciation réelle, et se retrouve à baragouiner des choses correctes peut-être à l'écrit, mais d'un ridicule achevé une fois parlées. Je vous emmerde !!! Et VOUS vous barrez à la maison ! Pas la peine de prendre l'air offusqué ou de vous dire "Oh, c'est pas de moi qu'il s'agit". Si vous reprenez tout le temps les autres ça vous concerne aussi, bande de nazes !

 

Pfiou on se sent pas mieux après, mais il faut parfois dire les choses.

 

Mais pour reprendre le fil du film, il me faut faire un aveu. Le titre sonnait vaguement bien. Par vaguement, je veux dire qu'il peut pencher vers le bon comme le mauvais, ça dépend essentiellement du contenu. Et là en l'occurence, j'en suis venu à la conclusion ultime... Inception, c'est l'opposé de Conception. Le cinéma qui accouche de ça, c'est comme une poule qui pond un oeuf sans poussin. Faut casser, faire cuire, puis disparaître.

 

Un mot sur l'affiche : Elle est l'exacte et totale représentation des calibres actuels. Tant pour les couleurs choisies que sa composition. Une grande et folle originalité donc.

 

 

 

Synopsis : D'un néant à l'autre, il n'y a qu'un pas

 

Quand l'histoire commence, Léo Di Caprio se réveille sur une plage, est conduit devant un vieux et parle avec lui.

Les problèmes commencent tout de suite. Si on est un peu attentif, le vieux est un acteur qu'on voit peu de temps après et jeune et ça se voit... Plus le fait que la structure du film qui commence par une scène quasi finale, c'est du putain de vu et revu... Ca se sent comme le poisson moisi en plein soleil.

 

Faisons impasse sur les pseudos subtilités de démarrage qui m'ont gavé. Le principe de l'histoire est simple :

 

Léo est un type qui bosse dans les rêves des gens pour leur retirer des secrets ou en implanter, ou faire du café et leur faire payer l'addition. Il est embauché pour monter une grosse opération et extraire des secrets de la tête d'un type. Pour ça il s'entoure de l'agence tous risques. Ils mènent l'opération à bien et tout finit bien. Bon, en parallèle, il faut aussi qu'il règle le problème de sa femme morte qui le hante. Inconsciemment il la case partie et elle interfère partout dans les rêves jusye pour le plaisir de le faire chier. Ou parce que le scénariste savait plus quoi faire pour charger la mule en torture psycholhygiénique. Car à ce sujet il y a grande embrouille. Elle est mourrue mais il est lié à sa mort, ils ont vécus ensemble dans un rêve pendants des décennies... AH PUTAIN ouais ! Important pour le dramatisme de la mise en scénage dramaturgique... Le temps réel et dans le rêve ne sont pas synchro. Le rêve se déroule plus rapidement.

finalement Léo résoud les problèmes de conscience qu'il a avec la mort de sa femme et repart et vit heureux.

 

 

 

Bon... Soyons sérieux deux secondes... Même pas. Une seule... Qui peut ne PAS deviner la chute du film ?

...

Bon, des fois qu'il y ait des mongoliens pour ne pas s'être douté de ce qui se passerait enc hute, aucun flot d'insultes ne suffirait à vous donenr une idée même approximative de votre état de délabrement mental. C'est pourtant évident ! Inception est un film qui évolue dans un univers de pseudos (ouais parce que là c'est quand même du haut vol en matière de nullité) faux semblants de la réalité. Donc à la fin il faut OBLIGATOIIIIIREMENT...

 - Le blaireaux qui se posent encore la question, ne vous cognez pas la tête dans la porte en sortant -

Il faut obligatoirement qu'on se demande si tout cela ne s'est pas passé dans un rêêêêêêêêêêve !!!!

 

Encore un film de merde à la "Do it yourself"... Comme le scénariste n'a pas les couilles de décider de quoi parle son histoire, il laisse le spectateur prendre la version qui l'excite le plus, histoire de bouffer à tous les rateliers.

 

 

Si je ne m'apesantis pas sur la relation entre Léo et sa femme c'est que ça m'a semblé bien chiant, stupide, con, et de pure remplissage. Ca permet de montrer un héros super trop torturé de la mort qui pleure à tout va dès que possible. Ca doit exciter les minettes de voir un playboy chialer, non ? Sinon quel intérêt de faire ça ? Artistiquement ça apporte rien, dramatiquement ça retire beaucoup. Ca changerait un peu les héros en retenu. Le genre de gars qui est toujours solide, dur, raide. Ne craquant que trente secondes sur deux heures et demi, mais avec des résultats violents. CA, ça changerait !

 

 

 

 

Conclusion (J'avais prévenu, bref !) :

 

Le casting est très imposant ! C'est du lourd ! Mention spécial à Cillian Murphy, pour un personnage maitrisé, tout en retenu, là où les autres passent leur temps à beugler, pleurnicher, crier, se battre comme des ninjas. Mais  même le meilleur des castings, s'il est dirigé comme un pied, ne donnera qu'un résultat navrant de médiocrité. Les acteurs n'en sont aps pour autant à blâmer.

 

 

 

 

 

Les notes existentielles autour du film qui font VRAIMENT gerber :

 

 

Je reviendrai aps sur le rôle insipidement inutile de Marion Cotillard qui ne sert qu'à remplir les temps laissés libres par la trame minimaliste et ridicule des 2h28 du film. Ni sur le fait que Léo serait sans doute un bon acteur, si les réalisateurs ne persistaient pas à le faire pleurer à tout va, le rendant plus ridicule et risible que regardable. Je n'évoquerait pas le caractère creux des rêves qui n'ont au final aucune identité, alors qu'on passe le temps du film à expliquer qu'ils sont propre à les personne qui lesc réé.

 

Mention sur l'univers de deux points que je trouve particuliètement nul à chier :

 

- Le scénariste n'ayant pas trouvé comment rendre dangereux le scénario pour les protagonistes ( faut dire qu'un rêve, depuis Freddy Krueger et sa Rue Elm, on les craind plus trop), il a développé un tour de roublard particulièrement vil.

Finalement il existe des niveaux de rêve dans lesquels on peut s'enfoncer et où le temps passe plus vite qu'à la couche précédente (NIGHT WATCH ! Pardon, je croyais que c'était les niveaux de Pénombre... Comme quoi, changer un nom permet de ne pas payer les droits volés).  Mais à hauqe couche on a de plus en pus de chances de rester coincé dedans... Bon je crie pas à nouveau, mais le coeur y est, hein !

Et cela ne sert finalement qu'à créer une espèce d'enjeu à la con ! Les gens sont en danger finalement dans les rêves, alors qu'ils ne l'étaient aps jusque là ! Wouaaaaaaaaaaah !!! La pirouette de blaireau ! Comment créer un faux suspens là où on s'en foutait !

 

- Le plan du vol des secrets de la mort qui tue est un plan basé sur des actes millimétrés et définis à la seconde ! Car ils permettent de remonter en cascades les niveaux de rves pour revenir à la surface... Au réveil.... A la réalité - NIGHT WATCH !!!!!!! Pour la réalité je veux dire... - Mais dans les faits, le plan est un immense foutoir où le bordélique se dispute à l'incompétence. Et au final la bande à Bader devrait plutôt se retrouver coincer dans les profondeurs du rêve sans parvenir à remonter à la réalité - NIG..... Ca devient Pavlovien... - Résultat on créé  del'enjeu artificiellement avec des scènes de bagarres, d'explosions, d'escarmouches armées, Qui finissent par prendre le pas sur le plan et devraient mettre un terme à l'existence de ces boursouflures de miasmes fétides de personnages débiles.

 

- Alors soi disant i faut pas intervenir dans le r^ve d'un type, sinon l'environnement cherche à te taper très fort... Mais alors POURQUOI une fois que l'agence tous risques est chassée par les antivirus de la cible se prive-t-elle d'user de l'environnement pour fracasser à peu près tout ce qui cherche à lui bomber la gueule ? Pourtant la victime qui se croit protéger apr eux n'est plus là à ce stade... Plus besoin de faire semblant ! FUCK THE INCEPTION !

 

- Dernier point - Les suivants me gavant trop pour les évoquer - Comment se fait-il que cette magnifique technilogie ne soit aps utilisée pleinement ? On nous dit qu'il est possible de prendre des gens et les plonger dans un rêve de quelques nuits qui "durent" 50 ans ?...

Je suis le seul qui n'a pas pensé à ça ?

Mais bordel c'est simple pourtant ! Cette technologie est tellement répandue que toutes les grandes boîtes l'utilisent ! Du coup cça devrait faire longtemps que TOUTES les grandes industries du monde mettent des centaines d'ingénieurs payés une fortune en sommeil quelques jours pour trouver les technologies de demain, putain !

En quelques années (et le film montre que ça fait bien plus que ces procédés existent !) Le monde aurait du changer de visage ! Le quotidien ne devrait plus reseembler à ça ! En moins d'un an, on gagne plusieurs siècles d'avancée intellectuelle ! De réflexion ! Les mathématiques aurait du faire un bon si colossal qu'elles ne seraient même plus concevables par le commun des mortels !

Alors oui, on peut se demander "mais comment faire des travaux et avancer si on ne peut rien ramener de son rêve !" Et ben, bougre de con dénué d'intelligence je répondrai simplement...

"D'une aprt ce qui est conçu dans le rêve y reste "physiquement existant" Léo et sa grognasse ont conçu maintes choses qu'il finit par retrouver bien que n'y étant aps retourné depuis fort très longtemps. Ensuite, dans le cas où je suis un grand chef d'entreprise multinationale, il m'est toujours possible d'embaucher quelqu'un qui apprenne par coeur ce que l'ingénieur va écrire. Sinon à quoi serviraient les acteurs ducon !"

 

 

 

Voilà une version synthétique de ce qu'il faut retenir du nauséabond Inception, ou l'art de l'avortement d'un rêve de cinéma.

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